mercredi 29 septembre 2010

Seance Manucure et Barber shop

Article rédigé par notre cher et tendre Piot Piot

Nous avions Romain et moi rejoint Virginie et Stef à la manucure. L’attente des
femmes fut longue mais elles avaient pour excuse d’être des femmes
exceptionnelles et ce à bien des égards. En plus d’être jolies, marrantes, et
patati, patata car ca n’a aucun lien avec la manucure, elles avaient chacune 10
orteils à chaque pied. Vous comprenez donc notre attente. Mais elles semblaient
heureuses d’être là, cajolées par des femmes dont elles ne comprenaient pas la
langue quand elles parlaient entre elles. Elles auraient pu tout aussi bien se
foutre d’elles, ce dont je doute, et dire : « purée les filles on a de la
chance de s’occuper de ces deux princesses ».

Flashback : quelques heures avant Romain et moi étions chez le barbier, « The barber shop » in VO. Le vrai de vrai, pas un vulgaire salon de coiffure pour homme. Le truc qu’en entrant dedans, on pense qu’il existe depuis le far west et que c’est juste le building qui a été construit autour. Donc après une petite coupe pour Roro et Thotho, place au rasage. La mousse est chaude chaude, l’eau est chaude chaude, la lame est tranchante tranchante. Aïe tu m’as coupé là motherfucker ? Oups pardon. Donc je passe le premier, puis vient le tour de Romain. A savoir que notre barbier était libanais (tiens j’avais pas vu de resto libanais, normal ils sont tous barbiers
à Montréal !!!).
Donc j’avais filé quelques pièces comme on dit ici au barbier
pour que malencontreusement il égorge romain et comme ca je serai parti vivre heureux avec Stef. J’imaginais la scène et après quelques secondes de réflexion(environ 5-6) et je me suis dit « Definitively Not » Car comme le dit si bien Sartre : « l’enfer c’est les autres » donc j’ai préféré récupéré mon argent.
Comme dit plus haut, la salle datée de l’époque du far west. La chaîne qui
diffusait la radio n’avait rien de Hi-Fi (plutôt Low-Fi) et le barbier était à
la pointe de la technologie… enfin si on était encore à l’époque des trappeurs.
Par respect envers notre barbier je ne lui ai pas demandé s’il savait ce que
c’était l’informatique. De toute façon c’était bien trop dangereux, c’est lui
qui avait le rasoir ! donc je me suis fait encaisser via une vieille caisse
enregistreuse en métal identique à celles en plastique avec lesquels jouent les
enfants. Mais dedans y avait des vrais billets !

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